Concert
Bertrand Belin
+ Lloyd Cole
dimanche 7 avril
21:00 / Cabaret Botanique /
25€ avec le Pass VIF
39€ Plein / 35€ Réduit / 15€ Sortir !
Hors frais de réservation
Événement passé
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Production
AEG Presents
Lloyd ColeFrance / Chanson
Les décennies passent, mais Lloyd Cole demeure fidèle au poste. Près de quarante ans après Rattlesnakes (1984), le chef-d’œuvre inaugural de Lloyd Cole and the Commotions, son leader historique n’a rien perdu de sa superbe. Depuis sa carrière solitaire entamée au tournant des années 1990, il a livré une dizaine de disques inspirés à un rythme régulier – de Don’t Get Weird on Me Babe (1991) à Music in a Foreign Language (2003), en passant par l’inusable Love Story (1995).
Visuel © Droits réservés
Distribution
Bertrand Belin : Voix, Guitares
Lara Oyedepo ou Sorie Bangura : Percussions, Claviers, Choeurs
Thibault Frisoni : Claviers, Basses, Choeurs
Jean-Baptiste Julien : Claviers
Julien King Omé : Guitares
Sylvain Joasson : Batterie, Machines
Nicolas Delbart : ingénieur son face
Marc Drouot ou Marc Roitg : ingénieur son retour
Production
W spectacle
Bertrand Belin France / Chanson
Tambour Vision
Être au monde. Comment se fait-on à l’idée d’être ici-bas, soumis aux aléas d’une existence plus surprenante que nous ? Être au monde, flanqué d’une altérité avec laquelle on doit composer, pour le meilleur et pour le pire.
C’est ce que raconte le septième album de Bertrand Belin. Antidote idéal à nos angoisses, nos solitudes, mixture hybride de pop francophone incitant à l’ivresse des sens et des luttes. Remède à la banalité actuelle, car refusant toutes contraintes. De la liberté, il y en a toujours eu depuis le premier album éponyme de Bertrand Belin, en 2005. Mais elle irradie ici comme dépourvue de filtres, ignorant les coquetteries et le brouillard actuel.
En résulte album tout en contrastes, aussi bien sonores que sémantiques. Les boîtes à rythmes nous saisissent, la guitare se fait plus discrète tandis qu’un Mellotron, avec son souffle et ses défauts, se distingue parmi les autres claviers. D’où le vent et le cuivré. Un son instantanément familier. Et une appréhension libre du classicisme. La pulsation remplit tout. Comme un groove insidieux qui « va directement aux muscles », qui va prendre toute son ampleur sur scène.
Visuel © Edgar Berg