Théâtre
Partenariat avec le Théâtre National de Bretagne
Tom na fazenda
Du mardi 9 au samedi 13 avril
Mardi, Mercredi, Vendredi 20:00 / Jeudi 19:30 / Samedi 18:00 / Théâtre National de Bretagne /
10€ avec le Pass VIF
31€ Plein / 15€ Réduit
À partir de 15 ans
Événement passé
Rencontrez l’équipe artistique à l’issue de la représentation du jeudi 11 avril.
Masterclass avec Armando Babaioff
Le samedi 13 avril - Infos et réservation auprès du TNB.
Distribution
Texte Michel Marc Bouchard
Traduction en portugais et adaptation Armando Babaioff
Mise en scène Rodrigo Portella
Avec Armando Babaioff, Denise Del Vecchio, Gustavo Rodrigues, Camila Nhary
Scénographie Aurora dos Campos
Lumières Tomás Ribas
Costumes Bruno Perlatto
Musique Marcello H.
Chorégraphie Toni Rodrigues
Design et communication Victor Novaes
Diffusion Séverine André-Liebaut
Administration de production et surtitrage (France) Lison Bellanger
– EPOC productions
Direction de production (Brésil) Sérgio Saboya et Silvio Batistela
– Galharufa Produções
Sur une idée originale de Armando Babaioff, Quadrovivo Produções
Production
Quadrovivo produções
Tom na fazenda (Tom à la ferme)Brésil / Théâtre
Michel Marc Bouchard, Armando Babaioff, Rodrigo Portella
2h10
Dévasté par la mort de son amant, Tom, jeune citadin, se rend pour la 1re fois dans
la famille de ce dernier. Dans une ferme isolée, il fait face à une mère dans le déni et à un frère rustre et brutal.
Le jeune homme bascule alors dans un enfer. Aux mots blessants et aux humiliations du frère succèdent les coups. Lorsqu’il déserte enfin ce traquenard, il n’est plus le même homme. Adapté au cinéma par Xavier Dolan (2013), le texte de Michel Marc Bouchard déplie un monde malsain où se percutent des milieux que rien ne saurait réconcilier. Pas même le chagrin partagé pour un mort. La représentation n’occulte rien de cette rugosité au goût terreux. Ce spectacle du brésilien Rodrigo Portella, couronné de nombreux prix, dénonce l’homophobie dans un pays où les meurtres homophobes ont atteint un nombre record ces dernières années.
Visuel © Victor Pollak